On se retrouve ici plongé dans 400 mètres d’arcades où sont concentrées environ 140 boutiques gravitant autour de l’univers de la cuisine. Des étales de poissons, de produits frais, des pickles, des bonbons et depuis quelques années des boutiques de souvenirs car le lieu est très touristique.
Sans critiquer, étant moi-même un touriste en avril, l’overtourism sur Kyoto a beaucoup évolué depuis 5 ans. Il y a 20 ans, la ville était certes déjà très visitée, mais ce n’était pas autant chargé. Et il n’y avait pas ces problèmes de comportement ou d’incivilité. Les temps changent, il faut faire avec. Coté travail, on retrouve dans les arguments politiques locaux des idées de régulation du tourisme, de « pollution visuelle » et même chez certains d’interdiction. Le discours est très souvent revenu en 2020 même avec le contexte Covid.